Un article du célèbre magazine britannique « The Spectator » décrit « le Cambodge comme étant le meilleur pays du monde et une nation définie par l’optimisme ».
Dans cet article, écrit par le romancier Sean Thomas, ce dernier décrit comment « … j’ai plusieurs décennies - à parcourir le monde, et les trois derniers mois à voyager dans toute l’Indochine, en particulier au Cambodge, et je peux vous dire que ce royaume peut prétendre à être le meilleur pays du monde ».
M. Thomas fait tout d’abord l’éloge de la cuisine locale :
« La cuisine cambodgienne est phénoménale. Elle est tout à fait à la hauteur. Son emplacement géographique y est certainement pour quelque chose : le pays bénéficie des influences thaïlandaises à l’ouest, des vietnamiennes à l’est et de nombreuses idées culinaires chinoises, ainsi que de succulentes nuances indiennes, malaises et françaises. »
L’auteur note l’augmentation de l’espérance de vie et l’amélioration de la santé au Cambodge, le comparant favorablement aux États-Unis et déclarant que “sur la base des trajectoires actuelles, l’espérance de vie cambodgienne dépassera celle des États-Unis dans quelques années, car l’espérance de vie américaine diminue… ».
M. Thomas loue également la beauté du paysage cambodgien : ‘Les paysages sont verdoyants, les jungles sont souvent intactes, les îles peuvent être édéniques et Angkor Wat est tout à fait stupéfiant. Le climat est également clément, avec une longue saison sèche et chaude tempérée par de douces brises fluviales dans la capitale bourdonnante de Phnom Penh, qui retrouve aujourd’hui son titre de Perle de l’Orient’.
L’auteur ajoute que ‘le travail acharné est respecté, tout comme la libre entreprise, et la criminalité de bas étage - comme dans la plupart des pays d’Asie de l’Est - est étonnamment absente en comparaison avec les villes occidentales’.
Il estime que ‘dans un Cambodge jeune et dynamique, le PIB par habitant a augmenté de 7 % par an pendant une décennie, avant la pandémie, et il semble maintenant revenir sur cette voie.
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