Le photographe John McDermott est venu pour la première fois à Siem Reap en 1995 pour assister à une éclipse solaire au-dessus d'Angkor Wat, ce qui, selon lui, a inspiré son utilisation caractéristique de la photographie infrarouge alors qu'il essayait de recréer cet effet si particulier.
Surnommé l’« Ansel Adams d’Angkor » par le New York Times, John McDermott a pris ces photos d’Angkor lorsqu’il y avait peu de touristes. Avec l’aide d’une campagne Kickstarter en cours, qui lui avait permis de récolter 50 000 dollars en seulement trois jours.
« Elegy : Reflections on Angkor » est mon hommage affectueux à un Angkor qui change rapidement - d'où le titre, avec ses connotations d'amour et de souvenir. La plupart des photographies ont été réalisées lorsqu'il était possible de se promener seul dans les ruines. C'est à cette époque que j'ai décidé d'entreprendre un portrait complet des temples, avant l'afflux de touristes que je pressentais,explique le photographe sur son site web.
« L'idée d'Élégie était de créer une série artistique qui rende compte de mon expérience personnelle d'Angkor et de son effet sur les émotions et l'esprit. Dans cette optique, j'ai demandé à Roland Eng, ancien ambassadeur du Cambodge aux États-Unis, et à Kenro Izu, un photographe d'art très respecté, connu pour sa série de Lieux sacrés, dont Angkor fait partie, de décrire chacun leur propre relation avec ce lieu dans l'introduction et l'avant-propos de l'ouvrage »,ajoute-t-il.
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